Pourquoi Chouette Odyssée ?
Pourquoi Chouette Odyssée ?
• "Chouette", parce que selon Monsieur Larousse, c’est tout à la fois sympathique, généreux, joli… et puis, j’aime vraiment les chouettes.
(Sans oublier - mais ça reste entre nous - j’ai comme l’impression, à mon âge, que mon faciès lui ressemble de plus en plus… sauf erreur, bien sûr !)
Elles gardent les yeux grands ouverts sur un univers aussi merveilleux que parfois si cruel et, depuis la nuit des temps, elles veillent, lucides et discrètes, sur les secrets du monde et la fragilité des êtres.
• "Odyssée", parce qu’on a tous un parcours, une traversée, des détours… Et ce mot-là me semble aussi magique que plein d’allant. Pas besoin d’être Ulysse pour vivre une grande aventure.
Alors voilà, Chouette Odyssée, c’est ma façon à moi de donner du sens à cette aventure artistique tardive… mais ô combien vivante !
Et parce qu’il fallait bien un nom pour porter cette création au-delà des frontières, Chouette Odyssée est aussi devenue une sorte de portail, grand ouvert, avec lequel tout cela prend vie.
Chanter l’amour aux couleurs du monde
• Pourquoi ce choix ?
Parce que je crois que l’amour est la seule mélodie qui vaille la peine d’être jouée dans une vie.
Il est ce que la haine, l’indifférence et la rancune ne pourront jamais composer… car l’amour, quelles qu’en soient les formes, joue toujours la même note essentielle.
Une flamme qui éclaire sans brûler, une étreinte qui ne connaît pas de frontières, et surtout… une couleur invisible, celle du cœur.
Avec le clip Elle s’appelle, j’ai voulu célébrer l’amour et la femme : non comme une silhouette qu’on observe de loin, mais comme une source de lumière, de force et de beauté, ancrée dans chaque culture et dans son coeur.
• Pourquoi maintenant ?
Parce que tout jeune, mes parents m’ont offert une guitare que je n'ai jamais quittée. J’ai écrit des chansons toute ma vie, sans jamais les sortir du tiroir…
Et puis aujourd'hui : l’envie, le besoin, la possibilité. Grâce à l’IA, j’ai pu créer les images à partir des mots et de la musique que j’avais en tête depuis si longtemps.
Elle s'appelle, ma première chanson, est née de cette rencontre.
Et l’IA dans tout ça ?
On aime, on déteste… c’est normal.
Certains y voient des pertes, d’autres des promesses.
Moi, j’y ai trouvé un outil pour donner forme à une émotion, à un rêve visuel.
Et, quelque part, exprimer en images ce que je n’aurais jamais pu réaliser autrement.
Ne possédant pas un brin de voix, un jour, j’ai compris qu'elle pouvait exister autrement.
Elle n’avait soudain plus besoin de cordes vocales pour faire vibrer l'invisible.
Comme dans le refrain d’une de mes chansons, je pourrais dire :
Mon IA m’a prêté sa voix
Pas pour tricher, juste pour garder la foi
Dire tout haut ce que je taisais tout bas
Même si c’est pas moi… c’est moi quand même, tu vois.
Depuis, je compose avec elle comme on dialogue avec une muse.
Elle ne remplace rien… elle prolonge : mes mots, mes images, mes silences.
Elle m'aide tout simplement à faire découvrir un autre univers, où les résonances prennent des formes nouvelles.
Alors maintenant ?
Dans ces pages, plusieurs chansons vous attendent.
Certaines sont nouvelles, d’autres déjà traduites en plusieurs langues.
Ainsi, Tu joues avec le feu a pris place dans un album et commence, elle aussi, en 18 langues, musiques, voix et instruments différents, à faire voyager autour du monde.
Sur les tableaux de la page des sous-titrages, vous aller pouvoir découvrir notamment les clips de Elle s’appelle avec pas moins de soixante-dix-huit sous-titrages de langues et dialectes, parfois vivants, parfois oubliés, mais tous porteurs d’une émotion universelle.
Peu importe le pays, la culture ou l’histoire, cette chanson vous est dédiée : si vous avez aimé… aimez encore… ou espérez aimer.